Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mots-nomades de Patrice Favaro - Page 8

  • "Une frontière "sur le site Mes Madeleines

    "Un roman abouti et sans langue de bois, qui donne à réfléchir sur les politiques menées à l’international."

    Et un point d'analyse qui me rappelle ce que l'on m'a déjà dit à propos d'un autre livre On ne meurt pas, on est tué : une construction romanesque placée sous le signe du double.

    Roman construit sous le signe du double

    1. La Pureté et la Manipulation ** pureté (sentiments des 2 héros, la fin de l’enfance) ** manipulation : les 2 États (manipulation de l’émotion : le patriotisme de chaque peuple et la peur de la guerre des occidentaux)
    2. Les frontières, métaphores de l’occident et du Tiers Monde ** extérieures (séparation artificielle des espaces et des populations) ** intérieures (la dissemblance d’Autrui)

    lire la chronique en entier ici

  • Retrospective articles de presse : Mahout

    "Mahout m'a littéralement transportée! J'étais avec Sid en Inde, vendu par ses parents à un créancier qui le placent comme apprenti chez un type qui loue ses éléphants."

    LIVRES ADOS (la critique à lire ici)

     

     

    couverture Mahout jpg.jpg

     

    J’ai beaucoup aimé le roman, l’histoire et l’écriture. L’Inde est le personnage principal aussi important que la vie de Sid. Les traditions liées à l’éléphant sont bien décrites. Un bon roman ados à découvrir aussi pour les adultes.

     

    LES LECTURES DE MARTINE MORATAL(la critique à lire ici)

     

    L'auteur Patrice Favaro livre dans Mahout un témoignage poignant sur le sort des éléphants en Inde. Captifs, ils sont maltraités par leurs mahouts, des hommes issus de milieux très pauvres, analphabètes, vivant dans des conditions misérables. C'est le destin de l'un d'entre, eux, Sid, que Patrice Favaro nous fait partager dans ce roman où se dévoile toute l'âme indienne. Une immersion très documentée - l'auteur s'y rend régulièrement -dans la complexe société indienne, terre de constrastes où se côtoient des traditions ancestrales et une grande modernité.

     

    Les p'tits lus -

     cliquez sur l'image pour lire la critique

     

    ENCRES VAGABONDES (la critique à lire ici)

    C'est un très beau livre, dur parfois, qui laisse affleurer la passion et l'engagement de l'auteur pour l'Inde et les éléphants et qui contribue à éclairer le lecteur, petit ou grand, sur la vie de ces « géants » et de ce continent oubli.

     

     cliquez sur l'image pour lire la critique

    Les livres ont parfois ce pouvoir : dire la réalité pour que le lecteur puisse appréhender le monde et peut-être le changer. Alors il faut lire Mahout, en parler et le faire circuler dans notre monde parfois si cruel.

     

      BOOKINAGES (la critique à lire ici)

    C’est à la fois la misère et la grandeur de l’Inde – mais aussi des hommes – que Patrice Favaro nous donne à voir dans un roman aussi instructif qu’émouvant.

  • Retrospective articles de presse 1

    La Littérature de voyage pour la jeunesse de Patrice Favaro aux éditions Thierry Magnier sur le site de l’association internationale des chercheurs de langue française sur les littératures d’enfance et de jeunesse. (ACLEJ).

    http://aclej.mshparisnord.org/squelettes/FondBandeau.png

    cliquez sur l'image pour lire l'article (très complet et documenté)

  • Ombres chez Ombres Blanches

    Très belle rencontre à la Librairie Ombres Blanches autour d'Ombres et petite lumière à Toulouse dont voici quelques retours.

    tumblr_nm4h7ecePY1tlpx3no1_500.jpg

    La rencontre avec Patrice Favaro nous a plongé dans l’univers extraordinaire de son livre  “Ombres et Petite lumière”. C’est à travers divers voyages en Inde que l’auteur a découvert le pays des montreurs d’ombres et que cette histoire a vu le jour.

    tumblr_nm4h7ecePY1tlpx3no3_500.jpg

    A lire ici en entier sur le blog Graines de critiques

  • Salon du livre de Montbéliard

    Excellentes rencontres scolaires (notamment au Lycée professionnel d'Audincourt) et très bon salon du livre du Pays de Montbéliard grâce à l'ADEC. Merci à Muriel et à toute l'équipe pour leur engagement! Ce fut également l'occasion de conduire les plus jeunes au pays du théâtre d'ombres! Et aussi l'occasion de retrouver quelques amis comme Yves, Magali and Co, et Évelyne et son mari, Samuel tous complices de notre résidence à L'Isle sur le Doubs en 2013.

    DSCN5414.JPG

    DSCN5422.JPG

    DSCN5429.JPG

     

    DSCN5408.JPG

    DSCN5330.JPG

    Photos ADEC et Favaro

  • Une frontière encore

    Cette fois le roman fait l'objet de la sélection UN LIVRE PAR JOUR

    Capture.JPG

  • Une frontière sélection par Le Choix du Lundi

    Les deux états séparés par la frontière n'ont d'imaginaire que le nom. Ils figurent tant de pays frères aujourd'hui brisés par les tensions religieuses, la montée du terrorisme, les actes de vandalisme et le sexisme. L'auteur a fait d'un premier récit paru en 2004 une nouvelle histoire, ancrée dans la réalité, aussi émouvante qu'instructive.

    à lire en entier ici

     

  • Sigismond sur Enfantipages

    Patrice Favaro (Lire aussi La fille du loup) présente une version acoustique de l'enfance de Sigmund Freud. Avec une écriture douce et poétique, il parle de la différence et du regard des autres en prenant pour exemple un  petit garçon complexé qui saura faire de son défaut une force : celui qui a su écouter le chant du monde et les rêves des hommes.

    les-oreilles-de-sigismond-9782364746619_0.gif

    à lire en entier ici

  • Une frontière sur Ricochet

    Merci à Sophie Pilaire pour cette très belle critique d'Une frontière sur le site Ricochet. Percutant et militant, écrit-elle, des mots qui vont comme un gant à la collection Place du marché!

     

    Extrait: Son narrateur externe, qui décrit la situation au présent, ne prend jamais parti et déroule simplement des faits qui s'enveniment au fil du temps. Le sursaut viendra des dernières pages : Sâd sauve Nôr et sa famille après les avoir quasiment dénoncés. Mais rien n'insiste sur un acte de bravoure qui se noie donc dans le grand chaos de la guerre... Histoire universelle (les deux pays n'existent pas, et le "une" du titre est important), Une frontière se préoccupe intelligemment des racines du mal, c'est-à-dire des difficultés pour un jeune esprit à distinguer la liberté et de l'importance d'une éducation neutre. Militant et percutant.

    Capture.JPG

  • Du sable... à Madagascar

    Avec son accord, je relaie la critique de Loren sur Du sable entre tes doigts. Des commentaires de jeunes lecteurs comme celui-là, et on se dit que non, malgré toutes les difficultés rencontrées, on n'écrit pas pour rien! Merci aux lecteur du prix Ravinala à Madagascar!

    Du sable entre tes doigts / Quelques extraits des journaux de lecteur des élèves de 4ème et 3ème de Tuléar

     

     

    Du sable entre tes doigts

     

    Extraits du journal de Loren (3B)

     

    Quand je regarde la première de couverture je me dis que ça doit se passer en Amérique. En voyant la route et la voiture je pense à un voyage mais un voyage avec des hauts et de bas car il y a des montées et des descentes.

    Le titre doit être une métaphore, le sable entre les doigts ça tombe. Peut-être que le ou les personnages veulent attraper quelques chose ou quelqu’un qu’ils ont perdu.

    J’ai aimé ce livre. C’est la réalité. Il montre ce que les enfants doivent subir à cause de la crise, ce que les parents vivent au quotidien. Il m’a beaucoup touchée. Il me rappelle une partie de mon enfance vécue sans mon père.

    Je le conseillerai à ma mère , je sais que cette histoire la touchera. A mon père et je sais ce qu’il en dira  « c’est dingue quand même, t’as vu le nombre de victimes de cette crise ? »

    Et puis à toutes les personnes au gouvernement. Ça leur fera les pieds. Pour qu’ils sachent ce que le peuple endure à cause de leur cupidité et parce qu’ils n’aimeraient pas que ça leur arrive.

    51z0ROn8ZnL._.jpg

    Les autres critiques sur le même ouvrage à lire ici