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mots-nomades de Patrice Favaro - Page 18

  • De jeunes Suisses parlent de La vérité crue

    Une émission hyper intéressante... les premières images ne donnent pas une idée juste de ce qui suit... mais, vraiment, allez au-delà. le Cycle d'orientation de la Veveyse, à Châtel-St-Denis - Canton de Fribourg - présente: "La vérité crue" de Patrice Favaro qui vient de remporter hier le Prix de la Radio Télévision Suisse au Salon du livre de Genève.

     

    Pour voir l'émission c'est ici

     

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  • La vérité crue: prix 2014 de la Radio Télévison Suisse catégorie jeunesse

    Patrice Favaro remporte le Prix RTS Littérature Ados 2014 pour son livre « La vérité crue » (Ed. Thierry Magnier). La remise du prix a eu lieu mercredi 30 avril à 14h en public au Salon du livre et de la presse de Genève sur le stand de la RTS. En présence du lauréat, les jeunes lecteurs et les ados membres du jury ont délivré leurs impressions après douze mois d’aventure littéraire. La remise du prix donnera lieu à une émission diffusée sur RTS Deux samedi 3 et dimanche 4 mai vers 10h15.

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    Communiqué de presse intégral ici

     

  • Pensée du jeudi matin

    Ce qui a fait le succès de Facebook, c’est que le réseau fonctionne à la façon notre pensée discursive intérieure, je désigne ainsi le flux de notre agitation mentale incessante, la petite voix babillarde qui ne se tait jamais. Les pensées arrivent, naissent spontanément, se succèdent interminablement comme des bulles de savon, l’une chassant l’autre. Parfois, on se met à en suivre une mais elle vous conduit inévitablement à une autre à laquelle on s’accroche à nouveau et ainsi de suite. Quand on se retire (en se déconnectant pour ce qui concerne les réseaux sociaux, en méditant pour la pensée), quand donc on parvient à interrompre le flux, on s’aperçoit alors que tout cela est vain, inutile, qu’il n’en reste rien, de l’eau qui file entre les doigts, des instants de vraie vie volés, perdus à jamais.

     

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    Une "méditation" de sable, bois et coquillages de Nouvelle Calédonie signée Françoise Malaval

  • Un peu de nostalgie

    Carnet de voyage en Inde de Françoise Malaval, en 2003. Je ne me lasse pas de le feuilleter quand les jour sont gris... Vous prouvez également retrouver les actus de Françoise sur sa page FB ici

  • Pensées du dimanche matin

    La loi du marché ? Mais ce n’est rien d’autre que la loi du plus fort, autrement dit la prédation et la violence pour seules règles. Accepterait-on que notre vie quotidienne soit soumise à la loi du plus fort comme dans la jungle ? Non, évidemment, notre société a élaboré un arsenal de loi visant à contenir les effets les plus violents des plus forts sur les autres : vol, viol, meurtre. Or, en matière économique… il n’en est rien : les grandes sociétés volent tout autant leurs employés que leurs consommateurs, violent les droits des uns et des autres, et se tuent entre elles impunément… Les grands patrons sont même sélectionnés en fonction de leur aptitude à mener à bien ce genre de pratiques ! Paradoxe : les ultralibéraux si prompts à agiter le tout sécuritaire… font une exception de taille : la loi du marché où tous les coups sont permis du moment que ce sont les forts qui les assènent sur le dos des faibles.

     

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    le "totem" de Wall Street, un taureau... ne serait-ce pas plutôt un veau d'or?

     

    On met souvent en avant les salaires pharaoniques que les conseils d’administration des grandes entreprises octroient à leur PDG. À première vue, cela ne devrait être puisque ces salaires sont autant d’argent que les actionnaires pourraient se partager. Est-ce là le prix à payer pour avoir des dirigeants compétents capables de dynamiser une entreprise ? Absolument pas, le nombre de dirigeants laissant des coquilles vides après leur départ ne se compte plus (qui se souvient encore de Jean-Marie Meissier ?). Non, leur seule capacité qui est si hautement rémunérée est celle de faire exploser les dividendes sur un temps très court en diminuant la masse salariale par le licenciement ou la baisse drastiques des salaires (cf. article ci-après en guise de démonstration imparable). Que l’entreprise n’y survive pas n’est pas un problème pour des actionnaires qui, une fois empoché leur magot, iront aussitôt le placer ailleurs avant la débâcle. C’est cela le capitalisme financier, il se fait au détriment des entreprises, mais personne n’en dit mot. Les intéressés se font oublier, quant à la classe politique au pouvoir depuis des décennies (droite républicaine comme ce qu’il faut bien appeler aujourd’hui la droite socialiste) elle se garde bien d’évoquer le sujet en dehors du mois qui précède les élections présidentielles !

     

    Dépêche AFP

    Les syndicats de Veolia Eau ont dénoncé jeudi la «rémunération scandaleuse» de leur nouveau patron, Alain Franchi, alors que cette branche de Veolia Environnement est engagée dans un plan de suppressions de plus de 10% des effectifs. Veolia Eau, qui compte 15 000 salariés, avait confirmé à la fin de l’année un plan de suppression de 1 600 postes en France via un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

    Les élus du personnel, réunis en comité central d’entreprise (CCE), «ont décidé de quitter la séance pour protester contre la rémunération scandaleuse du mercenaire liquidateur Alain Franchi», affirme un communiqué commun des syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT et FO. Le nouveau patron, nommé en juillet, s’est «en effet octroyé un million d’euros», indique le communiqué qui précise que le PDG de Veolia Environnement, Antoine Frérot, s’est augmenté «de plus de 13%», soit «1,79 million d’euros».

    Pour les naïfs qui croient encore au Père Noël, voici la baratin servi par le service communication de l’entreprise et qui se termine, ça va de soi… par la sacro-sainte… loi du Marché :

    «Alain Franchi n’est pas un liquidateur, il a pour mission d’assurer un avenir pérenne à Veolia Eau en France, que Veolia Environnement n’a aucunement l’intention de céder», a réagi un porte-parole de l’entreprise qui précise qu'Alain Franchi «est rémunéré par Veolia Eau 933 000 euros bruts par an». Ce salaire, a-t-il ajouté, est «établi en accord avec les pratiques du marché pour des dirigeants d’entreprises de taille, revenus et enjeux comparables».

    Le porte-parole de Veolia a également déclaré que le nouveau patron de la branche Eau «est mandaté pour mener à bien, de façon structurante, solide et durable, le ré-engineering d’une entreprise de 15 000 salariés qui (..) nécessite de se transformer profondément compte tenu des évolutions fortes de son marché».

  • J'y serai!

  • Enfin!

    La commission des Lois de l'Assemblée nationale a reconnu mardi 15 avril aux animaux la qualité "d'être vivants doués de sensibilité", alors que jusqu'à maintenant le Code civil les considérait comme "des biens meubles".

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    photo P.Favaro

  • Ricochet le dit : A lire d'urgence !

    Merci à Sophie Pilaire pour sa belle critique de mon roman Du sable entre tes doigts qui fait partie de la sélection de l’excellent et incontournable site de littérature jeunesse... j'ai nommé Ricochet.

    Extrait:

    "A hauteur d'enfant, le récit est fort mais pas innocent et on sent que le narrateur a perdu une bonne partie des illusions de son âge. La fin, pleine d'espoir solidaire, laisse peut-être présager un avenir plus doux, construit par et pour des jeunes citoyens comme Jordan, justement. En attendant, Du sable entre tes doigts, didactique sans jamais le montrer, reste le roman junior le plus abouti sur ce dramatique sujet. A lire d'urgence !"

     

    Pour lire la critique en entier c'est ici

     

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  • Stop the cyborgs!

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    "Stop The Cyborgs" was founded in response to the Google Glass project and other technology trends. The aim of the movement is to stop a future in which privacy is impossible and corporate control total."

  • Sur le blog Les riches heures de Fantasia

    Extrait d'une excellente critique sur Du sable entre tes doigts (éditions Le muscadier):

    Le récit entre débrouille et indignation de la perte est particulièrement fort, peut-être du fait de sa hauteur d'enfant mais aussi de par sa limpidité : il faut écouter le vieux Peter résumer la crise des subprimes en une page. Il est court, on en voudrait plus tout en reconnaissant la puissance de sa concision. Nul besoin de postface documentaire, tout est dit en moins de cent pages, l'émotion frappante incluse. Si les réalités qu'il expose ne seront, souhaitons-le, pas à imiter, Du sable entre tes doigts reste lui à chaudement recommander.

     

    L'article à lire (et relire!) en entier est ici.

     

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