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Pour chasser la coquille...

Écrire des romans, des nouvelles ou autres contes, pièces de théâtre ou encore documentaires, comme je le fais, c’est nécessairement faire usage d’un certain nombre d’outils comme le fait n’importe quel artisan. Se pencher par exemple sur la typographie ne représente pas qu’un intérêt de culture générale quand on écrit un texte qui est appelé à devenir un livre, c’est aussi un excellent moyen de s’interroger sur le matériau qu’est la langue écrite. Penser son texte sous sa forme typographique, explorer les règles qui régissent cet art délicat (auxquels nos traitements de textes empruntent abondamment), c’est aussi une manière d’affuter le sens de ce qu’on écrit et de l’inscrire dans la longue chaîne des hommes et femmes qui vous ont précédés sur le chemin des lettres, j’entends pas là : auteurs, typographes, imprimeurs, éditeurs, correcteurs et autres.

Aussi, je ne peux que vous conseiller de glisser dans votre proche d’apprenti auteur ou d’écrivain confirmé, ce merveilleux petit bouquin : La typographie cent règles, qui marie si bien érudition et humour tout en fourmillant d'informations pratiques et de surprenants faits historiques. 

 

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