Je rappelle que ce motif récurrent de "Qu'ils crèvent... " est un hommage à Tadeuz Kabntor, voir ici ce billet précédent.
Le droit d'auteur au sens moral du terme garantit la paternité sur le texte
Ma réaction:Tout à fait, c'est bien de cela qu'il s'agit et c'est cette filiation qui est souterrainement mise en cause. La raison? Faire de l'auteur, me semble-t-il, un simple et anonyme intervenant œuvrant pour une part seulement à la réalisation d'un produit numérique dont il ne sera plus qu'un contributeur (au mieux salarié, mais plus souvent encore pigiste) parmi une multitude d'autres. Qu'on observe ce qui se passe dans le domaine du multimédia et des jeux pour en avoir une idée. Hélas! Il suffit pourde consulter quelques forums de graphistes et d'artistes en ce domaine pour constater que c'est l’esclavage, ou presque!