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Abréactionnons!

On me reproche quelques fois les thèmes difficiles voire douloureux que j'aborde dans mes romans pour la jeunesse. Je réponds ici par les mots d'un autre.

« Si, donc, les structures textuelles maintiennent en éveil la conscience critique du lecteur, le retour du refoulé dans la lecture conduira à la progression et non à la régression. Au lieu de revivre servilement une scène “identique”, le lecteur pourra se réinvestir différemment dans une “même” scène. La lecture de certains textes permet ainsi des “effets en retour” qui rendent possible l’“abréaction” […] décharge émotionnelle par laquelle un sujet peut se libérer des traces en lui d’un événement traumatique. » Vincent Jouve, La lecture, p. 103, Hachette, réédition de 2006).

Oui, voilà, j'écris des textes abréaction... ça vole plus vite et plus haut!

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