Je regarde le monde, et cette classe politique, qui conjugue chaque jour un peu plus compromission et lâcheté, mépris et trahison, incompétence et corruption, et je pense aux mots écrits par Camus durant l'été 1944 dans le journal Combat:
"Nous sommes décidés à remplacer la politique par la morale, c'est ce que nous appelons une révolution".